L’année 2015 a été annoncée comme l’année du grand remaniement en matière d’assurance emprunteur. Même si les changements effectifs mettent du temps à être mis en place, la réunion du Comité consultatif du secteur financier (CCSF) laisse prévoir que désormais le consommateur pourra plus librement profiter de son assurance de prêt, qu’il s’agisse d’une assurance prêt immobilier Generali ou d’une offre émanant d’autres compagnies.
Des divergences subsistent
Le CCSF, qui rassemble des représentants des consommateurs, des assureurs, des banquiers et des intermédiaires, ont tenu une réunion le 13 janvier dernier pour trouver un accord sur les points de divergences dans le domaine de l’assurance de prêt. Le premier point évoqué concerne la question de l’équivalence de garanties, notamment le nombre définitif des critères à prendre en compte. Les consommateurs et les assureurs se penchent plus vers une liste restreinte, afin de mieux favoriser la comparaison avec les offres disponibles sur le marché. Si le problème d’équivalence de garanties est réglé, l’emprunteur n’aura plus de difficulté à choisir à la place de l’offre de groupe, et celle proposée par les autres compagnies, comme l’assurance prêt immobilier generali ne risque plus d’être refusée pour des raisons qui restent parfois un peu floues.
Un autre point qui n’a pas encore fait l’unanimité est la date d’entrée en vigueur de la nouvelle disposition de la loi Hamon. Celle qui autorise la résiliation de contrat d’assurance emprunteur dans un délai d’un an. Les banques avancent la date du 1er octobre 2015 pour avoir le temps de mieux s’organiser, les autres parties, elles, optent pour une mise en vigueur dès le début du second semestre, c’est-à-dire en mai 2015.
Vers une meilleure information du consommateur
Grâce aux lois Lagarde et Hamon, le consommateur peut s’émanciper de l’emprise de la banque et se tourner vers d’autres compagnies pour profiter d’offres avantageuses comme l’assurance prêt immobilier generali. Seul souci, les socles de garanties exigées par les banques ne sont pas communiqués suffisamment à l’avance pour permettre à l’emprunteur de faire un choix approfondi sur le contrat qui lui correspond le mieux. Pour remédier à cette situation, il est prévu que ces informations seront transmises au consommateur dans les plus brefs délais.